De ces caractères et de ces possiblement, les contingences de la vie amène à relire et à revoir différemment.
De ces possibilités, de ces multiples mesures, guides de forteresse et relecture. On ne peut pas dissocier l'individu de son histoire de vie, de ses penchants et de ses manquements. Ses attitudes et ses mécaniques, ses réactions et ses comportements. Alors de quelle manière faire taire la souffrance, face à ce qui nous est insupportable à considérer?
Tout simplement en apprenant à l'éclairer par l'empathie. Elle est cette capacité à se mettre à la place de l'autre. A l'élévation de notre niveau de conscience.
A nos moyens mis en oeuvre afin de lutter contre nous-même. De la peur d'aimer à celle d'être aimé et de souffrir. Simplement cela, absurde de considérer l'absurdité.
Les grands solitaires se suffisent généralement à eux-mêmes. De nos croyances à nos acquis, lorsque l'autre éveille cette part en nous. Les élévations de soi et les relectures fondamentales.
Rejet social, milieu doré, la nuance de la conscience. Nul besoin de regarder, nous sommes protégés. Les peurs cachent parfois de grandes fourberies. Lorsque le bon arrive, il est là. Accepter est la seule chose à faire, lorsque l'intuition nous souffle le chemin.
La vie nous aide à grandir, à nous détacher les uns des autres, à poser le jugement. Les épreuves nous aident à comprendre, dans une meilleure mesure, ce que nous sommes et ce que nous ne sommes pas.
Pas vraiment libres, mais pas totalement prisonniers. Des portes d'ouvertures à chaque naissance.
Sans doute dans une recherche continuelle de pouvoir être soi. Toiles d'une société, les états du moi.
Renouer avec un Dieu et laisser faire.
Le corps porte les traces du passé, des étoiles filantes aux images volantes.